La Cour maritime de Chine, l’un des tribunaux populaires spécialisés de Chine, est un tribunal spécialisé dans les affaires maritimes et de commerce maritime. La Chine a établi des tribunaux maritimes dans les villes de Shanghai, Tianjin, Guangzhou, Qingdao, Dalian et Wuhan, conformément aux dispositions de la décision du Comité permanent de l’Assemblée populaire nationale de novembre 1984 sur la création de tribunaux maritimes dans les villes portuaires côtières et de la décision de la Cour populaire suprême sur plusieurs questions relatives à la création de tribunaux maritimes. Composé d’un président, d’un vice – Président, d’un président, d’un vice – Président et d’un certain nombre de juges, il est doté d’une Commission de jugement. Il existe une chambre de première instance maritime et une chambre de première instance maritime et commerciale. Son champ d’application est les cas suivants entre les personnes morales et les citoyens chinois, entre les personnes morales et les citoyens chinois et les personnes morales et les citoyens étrangers ou régionaux, entre les personnes morales et les citoyens étrangers ou régionaux: (1) les litiges relatifs aux infractions maritimes; 2) les litiges relatifs aux contrats de commerce maritime; 3° Les autres cas de commerce maritime; 4) les cas d’exécution maritime; (5) cas de demande de préservation maritime. La juridiction du tribunal maritime est déterminée par la Cour populaire suprême en fonction des caractéristiques de la répartition maritime et portuaire de la Chine et n’est pas limitée par les divisions administratives terrestres. Les procès devant les tribunaux maritimes et les tribunaux populaires intermédiaires sont supervisés par le tribunal populaire supérieur du lieu où ils se trouvent et sont soumis à la juridiction de ce tribunal populaire supérieur pour les affaires en appel.
Caractéristiques de juridiction
1. La juridiction du contentieux maritime est spécialisée.
2. La compétence en matière de litiges maritimes est exogène.
3. La compétence en matière de litiges maritimes ne repose pas sur la Division des régions administratives.
Niveau de juridiction
Le niveau de juridiction des litiges maritimes fait référence à la Division du travail et à la compétence entre les tribunaux maritimes et les juridictions supérieures pour connaître des affaires maritimes en première instance. Il traite de la division verticale du travail au sein de la Cour pour la réception des affaires maritimes de première instance.
Contrairement au « système de jugement final à quatre niveaux» dans les affaires civiles générales, le niveau de jugement dans les affaires maritimes est le « système de jugement final à trois niveaux», c’est – à – dire les tribunaux maritimes, la Haute Cour populaire du siège du tribunal maritime et la Cour populaire suprême. En fonction de la nature, de l’objet et du degré d’impact social des affaires maritimes, la Haute Cour populaire et la Cour populaire suprême du siège du tribunal maritime peuvent connaître des affaires maritimes en première instance. Afin de faciliter les litiges entre les parties et de régler les différends maritimes, les tribunaux maritimes ont créé des bureaux – des tribunaux – dans les grands ports côtiers. Le tribunal maritime est saisi en première instance d’affaires maritimes par la Chambre maritime interne, la Chambre de commerce maritime et la Chambre de commerce maritime.
Territoire de juridiction
La juridiction territoriale spéciale pour les litiges maritimes est celle qui est déterminée en fonction du lieu où l’objet de la procédure ou les faits maritimes ont eu lieu, compte tenu du lieu de résidence du défendeur. À l’exception des cas individuels d’avarie commune, de rémunération au sauvetage, etc., la plupart des cas relevant de la compétence territoriale spéciale en matière de litiges maritimes peuvent relever du tribunal maritime du domicile du défendeur.
Les aspects exogènes des affaires maritimes, leur large champ d’action, leur grande compétence technique et le flux d’objets litigieux ont déterminé que seule l’application d’une juridiction territoriale spéciale à la plupart des affaires maritimes permettrait de résoudre les différends maritimes de manière plus scientifique et plus efficace et de protéger les intérêts légitimes des Parties. C’est pourquoi le paragraphe 2 de l’article 6 de la loi sur les procédures spéciales en matière maritime contient des dispositions plus détaillées que celles du Code de procédure civile en ce qui concerne la compétence territoriale spéciale dans les affaires maritimes.
Juridiction exclusive
La compétence exclusive en matière de litiges maritimes est la disposition légale selon laquelle une affaire maritime particulière ne peut être soumise qu’à un tribunal maritime particulier. La compétence exclusive en matière de litiges maritimes est très exclusive, excluant à la fois la compétence des tribunaux étrangers et celle des tribunaux non maritimes pour les affaires, ainsi que celle des autres tribunaux maritimes nationaux.
La compétence exclusive en matière de litiges maritimes diffère de la compétence exclusive en matière de litiges maritimes. La compétence spéciale en matière de contentieux maritime est la qualification de la compétence en matière de contentieux maritime, c’est – à – dire que les affaires maritimes relèvent exclusivement de la compétence des tribunaux maritimes; La compétence exclusive en matière de litiges maritimes est un élément important de la compétence spécialisée, c’est – à – dire que les affaires de nature particulière en matière maritime ne peuvent être jugées que par des tribunaux maritimes spécifiques.
Juridiction de l’Accord
La juridiction d’un accord de litige maritime est celle par laquelle les parties conviennent elles – mêmes, dans les limites prévues par la loi, que leur litige sera jugé par un tribunal donné, dans le but d’exclure la compétence d’autres tribunaux et de faciliter la procédure. La juridiction des accords de litige maritime peut être divisée en la juridiction des accords généraux, la juridiction des accords spéciaux et la juridiction des accords implicites. La juridiction conventionnelle générale et la juridiction conventionnelle implicite sont l’un des principes de compétence généralement reconnus au niveau international. La loi de procédure spéciale sur les litiges maritimes ne contient pas de dispositions complètes sur la juridiction des accords, mais seulement sur la juridiction des accords spéciaux qui s’y trouvent.
Portée de l’affaire
Selon les dispositions de la Cour populaire suprême de 2016 sur la portée des affaires portées devant les tribunaux maritimes, la portée des affaires portées devant les tribunaux maritimes comprend cinq grandes catégories:
Cas de litiges relatifs à des infractions maritimes
1. Les litiges relatifs à la responsabilité en cas de collision avec des navires, y compris les litiges relatifs à la responsabilité en cas de collision indirecte telle que des dommages causés par des vagues;
2. Les litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés par un navire touchant la mer, les eaux navigables, les ports et leurs installations à terre ou d’autres biens, y compris les litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés par un navire touchant des installations telles que des quais, des brise – lames, des chevalets, des écluses, des ponts, des balises, des plates – formes de forage, etc.;
3. Les litiges relatifs à la responsabilité en cas de dommages causés à des installations ou à d’autres biens qui ont été érigés en l’air ou installés sur le fond de la mer ou dans des eaux navigables;
Les litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés par le déversement, la fuite, l’immersion d’hydrocarbures, d’eaux usées ou d’autres substances nocives par un navire, la pollution des eaux ou la perte d’autres navires, de marchandises ou d’autres biens;
Les litiges en matière de responsabilité pour dommages causés à la pêche, aux installations d’élevage et aux produits aquacoles par la navigation ou l’exploitation d’un navire;
Les épaves et épaves de navires, les débris, les installations et installations temporaires ou permanentes en mer ou dans les eaux navigables de la mer qui affectent la navigation des navires et causent des dommages aux navires, à la cargaison et à d’autres biens et des dommages corporels;
7. Les litiges relatifs à la responsabilité en cas de violation des droits et intérêts personnels d’autrui par des activités telles que la navigation, l’exploitation ou l’exploitation d’un navire;
8. Litiges relatifs à la responsabilité en cas de rétention ou de rétention illégale d’un navire, de sa cargaison et de son matériel, de son carburant et de ses provisions;
9. Les litiges relatifs à la responsabilité du fait de la qualité des produits découlant de défauts dans les parties critiques et les articles spéciaux du navire fournis pour les travaux maritimes;
10. Autres litiges relatifs à des infractions maritimes.
Cas de litige contractuel maritime
11. Les litiges relatifs aux contrats de vente et d’achat de navires;
12. Les litiges relatifs aux contrats de construction navale;
13. Les litiges contractuels relatifs à la Sous – traitance de la construction, à la commande, à la commande, à l’achat et à la vente de composants essentiels et d’articles spécialisés pour les navires;
14. Les litiges relatifs aux contrats d’exploitation de travaux maritimes (y compris les formes d’accrochage, de partenariat, de contrat, etc.);
15. Les litiges relatifs aux contrats d’inspection de navires;
16. Les litiges relatifs aux contrats de location de chantiers navals;
17. Contrats de gestion d’exploitation de navires (y compris les formes d’accostage, de partenariat, de contrat, etc.), litiges relatifs à des contrats de coopération d’exploitation de routes;
18. Litiges relatifs à des contrats de fourniture de matériel, de carburant et de provisions liés à l’exploitation d’un navire donné;
19. Les litiges relatifs aux contrats d’Agence maritime;
20. Les litiges relatifs aux contrats de pilotage de navires;
21. Les litiges relatifs aux contrats d’hypothèque sur les navires;
22. Litiges relatifs aux contrats d’affrètement de navires (y compris les contrats d’affrètement à durée déterminée, les contrats d’affrètement coque nue, etc.);
23. Litiges relatifs à des contrats de location – Financement de navires;
24. Les litiges relatifs au contrat de travail de l’équipage, au paiement de la rémunération liée à l’embarquement de l’équipage, au service à bord du navire, au rapatriement hors du navire et à l’indemnisation en cas de blessures ou d’accidents corporels dans le cadre du contrat de travail de l’équipage, y compris l’Accord de détachement de l’équipage;
25. Litiges relatifs à des contrats de transport de marchandises par mer ou dans des eaux navigables maritimes, y compris les litiges relatifs à des contrats de transport international multimodal, de surface, etc., comportant des sections maritimes;
26. Les litiges relatifs aux contrats de transport de passagers et de bagages par mer, dans les eaux navigables maritimes;
27. Litiges relatifs aux contrats de transitaires en mer ou dans des eaux navigables;
28. Litiges relatifs à des contrats de location de conteneurs pour le transport par mer ou dans des eaux navigables;
29. Litiges relatifs à des contrats de transport de marchandises par mer ou dans des eaux navigables;
30. Litiges relatifs à des contrats de remorquage en mer ou dans des eaux navigables;
31. Litiges relatifs au contrat de transport par traversier;
32. Litiges relatifs aux contrats de stockage, de garde et d’entreposage de marchandises dans les ports;
33. Les litiges relatifs aux contrats de garantie tels que les hypothèques sur les marchandises portuaires, les nantissements, etc.;
34. Les litiges contractuels relatifs à la réglementation du nantissement de marchandises portuaires;
35. Entreposage de conteneurs maritimes, entreposage, garde des litiges contractuels;
36. Cas de litiges relatifs à des contrats de garantie tels que des hypothèques sur des conteneurs maritimes, des nantissements, etc.;
37. Litiges concernant des contrats de crédit – bail pour le financement de conteneurs maritimes;
38. Litiges relatifs à des contrats de location de ports ou de terminaux;
39. Litiges relatifs aux contrats de gestion des ports ou terminaux;
40. Assurance maritime, litiges relatifs à des contrats d’indemnisation;
41. Contrats d’assurance, litiges relatifs à des contrats d’assurance ou de dommages – intérêts faisant l’objet d’une assurance pour le transport de navires en eaux navigables maritimes et le produit de leur exploitation, de marchandises et de bénéfices escomptés, de salaires et autres rémunérations des membres d’équipage, de responsabilité civile, etc.;
42. Les litiges relatifs à des contrats d’assurance faisant l’objet d’une assurance responsabilité civile à l’égard d’installations d’équipement pour les travaux de construction navale et des avantages escomptés;
43. Les litiges relatifs à des contrats d’assurance faisant l’objet d’une assurance responsabilité civile à l’égard d’installations de production d’équipements portuaires et des avantages escomptés;
44. Les litiges relatifs à des contrats d’assurance portant sur des installations d’équipement utilisées pour des activités telles que la pêche maritime, l’exploitation des ressources marines, la construction d’ouvrages maritimes et les avantages escomptés, la responsabilité à l’égard de tiers;
45. Les litiges relatifs à des contrats d’assurance faisant l’objet d’une assurance portant sur les équipements utilisés pour la construction des ouvrages dans les eaux navigables de la mer et sur les avantages escomptés, la responsabilité civile envers des tiers;
46. Litiges relatifs à des contrats de location – financement d’installations d’équipement aéronautiques portuaires;
47. Litiges relatifs à des contrats de garantie tels que des hypothèques, des nantissements, etc., relatifs à des installations d’équipements aéronautiques portuaires;
48. Les litiges relatifs à des contrats d’emprunt pour lesquels une sûreté a été constituée sur des navires, des conteneurs maritimes ou des installations portuaires d’équipement maritime, à l’exception des litiges dans lesquels les parties ne sont poursuivies que pour des contrats d’emprunt;
49. Les litiges relatifs à des contrats d’emprunt pour l’achat, la construction ou l’exploitation d’un navire donné;
50. Les litiges concernant les garanties, les garanties indépendantes, les lettres de crédit, etc., pour garantir la réalisation de créances liées au transport maritime, à l’achat et à la vente de navires, aux travaux maritimes, aux opérations de production portuaire;
51. Les litiges relatifs à des contrats de travail ou à des actes visés aux points 11 à 50 ci – dessus;
52. Autres litiges relatifs aux contrats maritimes.
Développement des litiges d’utilisation et de protection de l’environnement
53. Litiges relatifs à l’exploration, à l’exploitation et au transport des ressources énergétiques et minérales en mer et dans les eaux navigables;
54. Litiges relatifs au dessalement et à l’utilisation intégrée de l’eau de mer;
55. Litiges relatifs à la construction d’ouvrages en mer ou en eaux navigables (dragage sous – Marin, construction de périmètres, pose de câbles ou de pipelines, construction de quais, de chantiers navals, de plates – formes de forage, d’îles artificielles, de tunnels, de ponts, etc.);
56. Litiges relatifs à l’exploitation des zones côtières;
57. Litiges relatifs aux expéditions scientifiques marines;
58. Litiges relatifs à des contrats d’exploitation de la pêche (y compris la pêche, l’élevage, etc.) en mer ou dans des eaux navigables;
59. Litiges relatifs à des contrats de location – bail pour le financement d’installations d’exploitation du matériel marin;
60. Litiges relatifs à des contrats de garantie tels que des hypothèques, des nantissements, etc., relatifs à des installations d’exploitation des ressources marines;
61. Les litiges relatifs à des contrats d’emprunt pour lesquels des garanties ont été constituées en vue de l’utilisation d’installations d’équipement aux fins de l’exploitation maritime, à l’exception des litiges dans lesquels les parties ne sont poursuivies que pour des contrats d’emprunt;
62. Litiges concernant des garanties, des garanties indépendantes, des lettres de crédit, etc., pour garantir la réalisation de créances liées à des opérations de production en mer telles que la construction d’ouvrages en mer et dans les eaux navigables maritimes, l’exploitation de la mer, etc.;
63. Les litiges relatifs à l’utilisation de la mer (y compris les litiges contractuels relatifs à la passation de marchés, à la cession, à l’hypothèque, etc., et les litiges délictuels connexes), à l’exception des litiges en matière de justice découlant d’une demande d’utilisation de la mer;
64. Les litiges concernant des contrats de louage de services ou des actes visés aux points 53 à 63 ci – dessus;
65. Litiges concernant la pollution du milieu marin et la destruction de l’éco – responsabilité marine;
66. Litiges concernant la responsabilité écologique en cas de pollution de l’environnement des eaux navigables de la mer et de destruction des eaux navigables de la mer;
67. Autres litiges relatifs à la responsabilité délictuelle découlant de l’exploitation des mers ou des eaux navigables, de travaux de construction et de différends relatifs aux relations adjacentes.
Autres litiges maritimes
68. Les litiges relatifs aux droits réels sur les navires, tels que la propriété des navires, la priorité des navires, les privilèges sur les navires, les hypothèques sur les navires, etc.;
69. Litiges relatifs à la propriété, au privilège, à l’hypothèque, etc., de marchandises portuaires, de conteneurs maritimes et d’installations portuaires de matériel de navigation;
70. Litiges relatifs à la propriété, au privilège, à l’hypothèque, etc., de biens tels que des installations maritimes, des installations d’exploitation des eaux navigables, etc.;
71. Litiges découlant de la cession de connaissements, de nantissements;
72. Les litiges relatifs à l’aide en cas de naufrage;
73. Litiges relatifs à l’enlèvement de navires en mer ou dans des eaux navigables;
74. Les litiges d’avarie commune;
75. Litiges relatifs aux opérations portuaires;
76. Les biens situés en mer et dans les eaux navigables maritimes ne font l’objet d’aucun différend administratif;
77. Litiges relatifs à la fraude maritime;
78. Litiges relatifs au courtage maritime et aux opérations sur produits dérivés du transport maritime.
Affaires administratives maritimes
79. Procédures administratives engagées contre des organes administratifs maritimes pour des actes administratifs concernant des biens tels que des navires, des marchandises, des équipements, des conteneurs maritimes, etc., en mer, dans des eaux navigables ou dans des ports;
80. Procédures administratives engagées contre les autorités maritimes pour des actes administratifs relatifs aux qualifications et à la légalité dans les opérations de transport maritime, dans les eaux navigables maritimes et les opérations auxiliaires connexes, aux transitaires, à la capacité des équipages et aux services d’embarquement;
81. Procédures administratives engagées contre les autorités maritimes pour des actes administratifs concernant des activités telles que la mer, l’exploitation des eaux navigables de la mer, la pêche, la protection de l’environnement et des ressources écologiques;
82. Procédures administratives engagées pour refus de l’administration maritime concernée d’exercer les fonctions administratives visées aux points 79 à 81 ci – dessus ou pour non – réponse;
83. Affaires dans lesquelles la responsabilité de l’État est demandée à l’administration maritime et à son personnel au motif qu’ils ont commis les actes administratifs visés aux points 79 à 81 ci – dessus ou que l’exercice de leurs fonctions administratives a porté atteinte à des intérêts légitimes;
84. Les cas dans lesquels la responsabilité de l’État est demandée à l’administration maritime concernée et à son personnel au motif que les actes administratifs visés aux points 79 à 81 ci – dessus ont été accomplis ou que l’exercice des fonctions administratives pertinentes a porté atteinte à des intérêts légitimes;
85. Affaires dans lesquelles l’administration maritime a demandé l’exécution des actes administratifs visés aux points 79 à 81 ci – dessus.
Affaires relatives aux procédures spéciales maritimes
86. Demandes de constatation de la validité d’une convention d’arbitrage maritime;
87. Cas de demande de reconnaissance ou d’exécution d’une sentence arbitrale maritime étrangère, de demande de reconnaissance ou d’exécution d’une sentence arbitrale maritime de la région administrative spéciale de Hong Kong, de la région administrative spéciale de Macao et de la région de Taiwan, de demande d’exécution ou d’annulation d’une sentence arbitrale maritime nationale;
88. Demandes de reconnaissance et d’exécution d’instruments de décision maritime de tribunaux étrangers, demandes de reconnaissance et d’exécution d’instruments de décision maritime de tribunaux de district de la région administrative spéciale de Hong Kong, de la région administrative spéciale de Macao et de Taiwan;
89. Demande de constatation de l’absence de propriétaire d’un bien en mer, dans des eaux navigables maritimes;
90. Les cas où la demande n’est pas motivée par la gestion de biens en mer, dans des eaux navigables;
91. Cas de disparition ou de décès suite à une demande d’intervention en mer, dans des eaux navigables ou à un accident;
92. Demandes de saisie de navires, de marchandises à bord de navires, de matériaux marins, de fioul de soute ou de préservation d’autres biens dans le cadre d’un différend maritime avant la mise en accusation;
93. Litiges en matière de responsabilité découlant d’une demande d’erreur de conservation de biens présentée par un demandeur maritime ou d’une demande de garantie d’un montant excessif;
94. Les cas de demande d’injonction maritime;
95. Demande de conservation de preuves maritimes;
96. Litiges en matière de responsabilité découlant d’une demande erronée d’injonction maritime ou de préservation de preuves maritimes;
97. Les demandes d’ordonnances de paiement relatives à des différends maritimes;
98. Demandes de publicité de rappels concernant des différends maritimes;
99. Demande de création d’un Fonds de limitation de la responsabilité maritime (Fonds de limitation de la responsabilité pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures);
100. Enregistrement et indemnisation des créances liées à la vente aux enchères de navires ou à la création d’un Fonds de limitation de la responsabilité maritime (Fonds de limitation de la responsabilité pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures);